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Les missions de la Gendarmerie impériale

                                                                                                                                     

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Une des missions de la gendarmerie

contrôler les passeports

 

Documents de la collection Yves Moerman, reproduction interdite - Copyright.    Documents de la collection Yves Moerman, reproduction interdite - Copyright.

Passeport de Dame Catherine Shane, profession "servante", daté du 10 février 1809, de la commune de Roderer

département du Haut-Rhin, elle se rend à Mayence. Galanterie française, comme signe particulier: "marque de petite vérole".

Les missions de la gendarmerie :

1° - Faire des marches, tournées, courses et patrouilles.

2° - Recueillir et prendre des renseignements sur les crimes et délits publics.

3° - Rechercher et poursuivre les malfaiteurs.

4° - Saisir toute personne surprise en flagrant délit.

5° - Saisir toutes les personnes porteuses d’armes ensanglantées faisant présumer le crime.

6° - Saisir les brigands et voleurs de grands chemins.

7° - Saisir les dévastateurs des bois, récoltes, les chasseurs masqués, les contrebandiers armés.

8° - Saisir et arrêté les émigrés et prêtres déportés (avant la loi d’amnistie).

9° - Dissiper par la force tout attroupement armé.

10° - Dissiper tout attroupement non armé, qualifié séditieux.

11° - Saisir tous ceux qui exercent des voies de fait ou violences.

12° - Protéger les porteurs de contraintes pour deniers publics.

13° - D’assurer la libre circulation des subsistances.

14° - De protéger le commerce intérieur.

15° - De surveiller les mendiants, vagabonds et gens sans aveu.

16° - Dresser procès-verbal de tous les cadavres trouvés sur les chemins.

17° - Dresser procès-verbal des incendies, effractions, assassinats et tous crimes.

18° - Recueillir des indics, preuves et renseignements sur les auteurs des crimes et délits et leurs complices.

19° - De se tenir à portée des grands rassemblements d’hommes, comme les foires, marchés, fêtes, cérémonies publiques.

20° - De conduire les prisonniers ou condamnés.

21° - De saisir et arrêter les déserteurs et militaires non porteurs de passeport ou congé en  bonne forme.

22° - Faire  rejoindre les militaires absents de leur corps.

23° - Arrêter les militaires traîneurs et ceux qui s’écartent des routes.

24° - Vérifier les titres de circulation des étrangers.

25° - Saisir et arrêter les mendiants valides.

26° - Saisir et arrêter tout individu commettant des dégâts dans les bois.

27° - Saisir et arrêter ceux qui à cause de la rapidité de leurs chevaux blessent une personne.

28° - Saisir et arrêter ceux qui tiendront des jeux de hasards interdit par la loi.

29° - Saisir et arrêter ceux qui couperont des arbres plantés.

30° - Faire la police sur les grandes routes.

Documents de la collection d'Y.J.T.M., reproduction interdite - Copyright.    Documents de la collection d'Y.J.T.M., reproduction interdite - Copyright.

La gendarmerie d'élite, à Paris lors d'une revue, et au bivouac en campagne, composition de JOB.

La gendarmerie des ports et arsenaux.

Le 31 juillet 1801, Le Premier Consul Bonaparte crée six compagnies près les ports et arsenaux maritimes. Les compagnies sont à : 1 - Anvers une lieutenance à Boulogne. 2 – Au Havre, puis en 1810 une lieutenance à Cherbourg. 3 – À Brest. 4 – À Lorient. 5 -  À Rochefort. 6 – Et enfin à Toulon. Le 14 juin 1805, un décret impériale forme une compagnie maritime pour la garde du port et de l’arsenal de Gênes, et 3 ans plus tard le 19 octobre 1808, son siège est transféré à La Spezzia, avec une lieutenance à Gênes et une à Livourne. À partir de 1808, le 7e compagnie se compose en 8 chefs-lieux des quartiers ; La Spezzia, Chiavari, Gênes, Savone, Port-Maurice, Livourne, Santo-Stefano et l’île d’Elbe. À la fin de l’empire, le décret du 11 février 1813 organise une 8 compagnie à Amsterdam, avec une lieutenance à Rotterdam, et une 9e compagnie à Hambourg, avec une lieutenance à Brême.

Plusieurs articles du règlement du 24 août 1803 donnent les différentes missions des gendarmes, comme ;

L’article 15, prévoit qu’ils sont tenus d’exécuter les ordres des préfets maritimes et des chefs militaires des ports, et de déférer aux réquisitions des officiers de l’administration de la Marine, des officiers du génie chargés de diriger les travaux de construction, des commissaires de la marine chargés de l’armement et de l’inscription maritime de ceux préposés à la police des chiourmes, du commissaire auditeur près la cour martiale maritime, des officiers chargés des mouvements et du parc d’artillerie, de tout inspecteur ou sous-inspecteur de marine.

L’article 16, stipule que la gendarmerie des ports et arsenaux, doit fournir un poste d’honneur au préfet maritime de chaque arrondissement, qu’elle accompagne dans ses tournées et qu’elle assiste à ses publications et proclamations.

L’article 19, que les sous-officiers et gendarmes sont chargés d’observer les démarches des marins, et leurs habitudes dans les ports, afin de pouvoir reconnaître et d’arrêter les déserteurs et de surveiller les abords des bagnes conformément aux instructions du commissaire de marine préposer aux chiourmes.  

Sous le Consulat et l’Empire, la gendarmerie Maritime se signale à l’occasion de plusieurs engagements glorieux. Entre 1803 et 1805 les gendarmes de Boulogne se distingue plus particulièrement, ils serons citée à l’ordre général du 5 mai 1804. Le capitaine Lefebvre et le lieutenant Villard pour leur conduite lors du bombardement sur Le Havre. En 1813 et 1814, le capitaine Pinel, le sous-lieutenant Febvotte et le lieutenant Billot avec leurs gendarmes lors de la défense d’Hambourg, de Brême et d’Anvers. Encore en 1814, mais à Gênes (Italie) le lieutenant Roux et ses gendarmes lors de la défense de la ville.

Les officiers, sous officiers et gendarmes portent le même uniforme que celui de la gendarmerie départemental, à cette différence que sur le bouton il sera substitué une ancre au numéro de la légion. Théoriquement, il aurait dû y avoir au minimum, 51 200 boutons, 19 968 gros modules et 31 232 petits modules, et pourtant ni le musée de l’Armée, ni le musée de la Gendarmerie n’en possède le moindre exemplaire.

L’armement, il se compose d’un mousqueton de cavalerie modèle an IX, sans la tringle et son anneau et d’un paire de pistolets de gendarmerie modèle an IX, mais dont l’embouchoir, la contre platine, le pontet et la calotte sont en laiton au lieu d’être en fer comme pour les autres formations de l’arme. La gendarmerie des ports et arsenaux possède une arme très particulière qui lui est propre. Il s’agit d’un sabre courbe, à l’oriental avec fourreau, en cuir noirci, à trois garnitures dorés et deux anneaux de bélière. La différence entre le modèle des officiers et de la troupe réside dans la poignée. La première, en corne noire, est entourée d’un filigrane torsadé et, dans une espèce d’écu, possède une ancre de marine sur un fond de feuillage et d’attributs militaire. La seconde, en laiton, est fondue d’une seule pièce mais avec l’ancre de marine sur fond neutre.

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