Yves Moerman Véronique Sapin auteurs livres Athos groupe Zéro groupe G service de renseignement militaire belge sûreté de l’Etat espionnage guerre collaborateurs nazis partisans résistance dénonciateurs traîtres exécutions condamnation à mort armes grenades pistolets mitrailleur bombe 1940 1941 1942 1943 1944 1945 libération de la Belgique Europe guerre mondiale interviews de collaborateurs interview de résistants Les Gendarmes de l’Empire nous y étions Camp de Boulogne Austerlitz Jena Berlin Hollabrünn Borodino Leipzig Lützen Paris Bassenge Cappellen Oostende Oostmalle Raches Wavre Waterloo Bal de la Duchesse de Richmond à Bruxelles 1815 2013 2014 2015 pistolet an 9 de la Gendarmerie Impériale uniformes des gendarmes de 1804 à 1815 Bassenge bivouac monuments funéraires Joséphine Napoléone de Montholon monument aux officiers britannique tombe du lieutenant-colonel John William Miller Les Gendarmes de l'Empire commémoration au cimetière de Terdeghem soldats 1er Empire samedi 22 mai 2010 bataille de Ligny R.E.S. Gend. palais de Justice de Paris 20 novembre 2010 famille ROBIN marins sous Napoléon Sacre de l'empereur Napoléon et de l'impératrice Joséphine, à Boulogne-sur-Mer le 28 mai 2011 Sainte Hélène bataille des Quatre-Bras Waterloo, le 18 Juin 1815 Zemst Sempst historique historisch overzicht Thérouanne Ville oubliée Marc de Moerman Magistrat à Thérouanne Eppegem Belgique België Belgium cimetière militaire d'Eppegem 1914 militaire begraafplaats in Eppegem 1914 military cemetery Eppegem 1914 herdenkingen commémorations commemoration 2014 2015 2016 2017 2018 un pays qui perd la mémoire est un pays qui disparaît dépôt de gerbes au cimetière situé Brusselsesteenweg sur les tombes de 228 soldats belges Zemst Zemst-Laar 1914 cimetière de Zemst 1914, Belgique begraafplaats in Zemst 1914, België Zemst Cemetery 1914, Belgium burgers slachtoffers victimes civils livres Napoléon à Waterloo lettres de Grognard correspondance de Benoît Joseph Lamoral artilleur de Marine dans les armées de Napoléon de 1800 à 1813 1815 Napoléon en campagne Heure par heure dans l'ombre de l'Empereur Grognards centenaires de Napoléon derniers soldats médaillés de Sainte-HélèneDe Bonaparte à Napoléon From Bonaparte to Napoleon Aquarelle de JOB Les trente batailles du sergent Denis Moreau de 1794 à 1809 Etienne Guillaume Gustave Maison Yves Moerman Le Sacre de l'empereur Napoléon 1er Paris, le 2 décembre 1804 Boulogne, le 28 mai 2011 1815 campagne de Belgique des monuments et des hommes livre qu'il vous manquait Napoléon, Wellington, Blücher J’étais soldat au 2ème Bataillon de Fusiliers Louis Laeremans volontaire de guerre en 1944 livre sur la vie militaire de ce vétéran Belge Préface du Ministre Herman DE CROO Ancien Président de la Chambre Député Ik was soldaat bij het 2de Bataljon Fusiliers Louis Laeremans oorlogsvrijwilliger in 1944 Boek over het leven van een Belgische vrijwilliger Minister van Staat Herman DE CROO Gewezen Kamervoorzitter Volksvertegenwoordiger 6 août 1944 double meurtre à Gembes Eliane Mergny, Paul Mergny et André Moyen étaient-ils vraiment coupables ? Les crimes des soldats Alliés en Europe 1944-45 Viols et meurtres ATHOS la traque des collaborateurs belges à la solde des Nazis Athos André Moyen Capitaine Freddy Collaborateurs Abwehr, Défense service de renseignement Gestapo GEheime STaatsPOlizei Police secrète d'État SS Schutzstaffel organisation national-socialiste, SD Sicherheitsdienst Collaboratrices Espions Belgique Ardennes Bastogne Berlin Ave-et-Auffe Gembes Graide Louette-Saint-Denis Monceau-en-Ardenne Resteigne Wellin Adolf Hitler Nazi femmes tuées jeune filles collaboratrice cimetière exécution enlèvement espions Deuxième Guerre mondiale WWII prison Yves Moerman Véronique Sapin La gendarmerie de 1804 à 1815
Officier de gendarmerie en surtout 1806-1810. Pour vos commandes Pedersoli en Belgique une seul adresse Wapenhandel Nikabi Testeltsesteenweg 66C 3271 Averbode - Belgium e-mail : wapenhandelnikabi@telenet.be website : www.wapenhandelnikabi.be La gendarmerie nationale a remplacé en décembre 1790 la vieille maréchaussée royale. Elle a pour tâche le maintien de l’ordre sur le territoire national. Aux heures sombres de la Révolution, l’appartenance à la gendarmerie est bien davantage fonction des allégeances politiques que des compétences. Aussi Bonaparte s’empresse-t-il d’épurer le corps de ceux "ayant contracté des habitudes vicieuses et contraires au bien du service" avant de la réorganiser en juillet 1801. Chaque département possède une compagnie divisionnaire divisée en brigades à cheval et à pied, composées chacune d’un sous-officier et de cinq hommes. Quatre départements forment une légion sous les ordres d’un colonel. L’objectif de Bonaparte est de faire de la gendarmerie "un corps autonome, mobile, libre d’agir avec la promptitude et le secret de l’organisation militaire". Un inspecteur général est placé à la tête de ce corps. Dépendant des ministres de la Police, de la Guerre et de la Justice, il jouit, en fait, d’une très large autonomie. C’est au général Radet que Bonaparte confie d’abord cette fonction, puis il le place, en décembre 1802, sous les ordres du futur maréchal Moncey, qui prend le titre de premier inspecteur général de la gendarmerie. Napoléon utilise le service de renseignements constitué par ce corps pour contrebalancer le pouvoir de Fouché, ministre de la Police. Il écrira en 1806 : "C’est la manière la plus efficace de maintenir la tranquillité d’un pays, et c’est une surveillance moitié civile, moitié militaire, répandue sur toute la surface, qui donne les rapports les plus précis". La gendarmerie était commander par
Le maréchal Bon Moncey - document Y.J.T.M. Le maréchal Bon Adrien Jannot Moncey, (duc de Conegliano le 25 juillet 1808) né à Moncey le 31 juillet 1754, décédé à Paris le 20 avril 1842, comme inspecteur général depuis le 3 décembre 1801.
Le général Louis Léopold Buquet - document Y.J.T.M. Comme adjoint, il avait le général Louis Léopold Buquet (baron, le 4 janvier 1811) d’empire. Né à Charmes (Vosges) le 5 mai 1768, décédé à Nancy le 25 avril 1835. Le 25 juin 1805, il est chargé de l’inspection générale de la gendarmerie en l’absence de Moncey. Les commandants de légion de gendarmerie Le général Louis Wirion, né à Logny (Ardenne), le 22 février 1764, se brûla la cervelle dans le bois de Boulogne, (Paris) le 8 avril 1810. Le 30 octobre 1795, le Général de brigade Wirion, commandant de la gendarmerie nationale dans l’armée de Sambre et Meuse, est chargé de l’organisation de nouvelles divisions de la gendarmerie dans les Provinces belges. Général de brigade, le 29 mars 1801, inspecteur général de gendarmerie, le 3 décembre 1801. Accusé de prévarications et d'exploitations à l'égard de ces prisonniers, il fut traduit pour ce fait devant une commission du Conseil d'Etat désignée par l'Empereur, le 7 mars 1810. Rapport au général Wirion Lettre au général Wirion.
11 thermidor an VIII (30 juillet 1800) Sûreté générale au général WIRION, inspecteur de la Gendarmerie Citoyen général Je m'empresse de vous faire part d'une lettre que je viens de recevoir du Sous-Préfet de Fougères par laquelle il m'apprend que le rassemblement qu'on avait cru voir aux environs de Dol n'est autre chose que quelques militaires qui ont traversé le marais avec des filles de mauvaise vie pour se rendre dans le département de la Manche. C'est ce qui a fait dire que les brigands étaient déguisés en femmes. Ceux qui ont commis quelques vols dans ce canton ne sont qu'au nombre de trois ou quatre. Vous voyez, citoyen général,qu'il est souvent dangereux de juger les choses sur les premiers rapports. signé: illisible.
Le général Etienne Radet - Collection de musée de la Gendarmerie de Melun, reproduction interdite - Copyright - photo Yves Moerman Le général Etienne Radet, (baron d’empire le 2 septembre 1810) né à Stenay (Meuse) le 19 décembre 1762, décédé à Varennes en Argonne, (Meuse) le 28 septembre 1825. Général de brigade de gendarmerie le 5 mai 1800 et chargé de la réorganisation de la gendarmerie. Il est chargé en 1809 par l'Empereur de s'emparer du Pape au mépris du droit international, escalader le palais du Quirinal à Rome pour y faire prisonnier Pie VII et de l'emmener prisonnier en France. Grand prévôt de la Grande Armée le 30 mars 1813. Les commandants de légion de gendarmerie d’élite
Le général Anne Savary - document Y.J.T.M. Anne, Jean, Marie, René, Savary (duc de Rovigo, le 23 mai 1808) né à Marcq-et-Chevrières, (Ardenne) le 26 avril 1774, décédé à Paris le 2 juin 1833. Chef de la légion de gendarmerie d’élite, le 5 septembre 1801. Il sera à Austerlitz.
Le général Antoine Durosnel - document Y.J.T.M. Antoine, Jean, Auguste, Henri Durosnel, ne à Paris, le 9 novembre 1771, décédera à Paris, le 5 février 1849, comte d'empire le 24 avril 1808, il prendra le commandement de la gendarmerie d'élite avec le grade de général de division, a la place de Savary, en 1812. La gendarmerie le 12 thermidor an IX L’arrêté du 12 thermidor an IX (31 juillet 1801) règle la composition et l’organisation de la gendarmerie en la constituant en 26 légions. Elle est composée de 1.750 brigades et de 750 brigades à pied. Chaque brigade sera composée d’un sous-officier et de cinq gendarmes. A cette époque le corps de gendarmerie compte 15.686 hommes, officiers compris. Le détail en est le suivant : 1 général de division, premier inspecteur général. 2 généraux de brigade, inspecteur généraux. 27 chefs de légion. 5 chefs d’escadron, dont 3 pour la légion d’élite. 109 capitaine en 1er, dont 4 et un major pour la légion d’élite. 8 capitaines en second, dont 2 pour la légion d’élite, et 6 pour les ports et arsenaux maritimes. 349 lieutenants en 1er, dont 8 et un quartier-maître pour la légion d’élite. 10 lieutenants en second, dont 2 pour la légion d’élite, et 6 pour les ports et arsenaux maritimes. 104 sous-lieutenants, quartiers-maîtres, dont 2 sous-adjudants pour la légion d’élite. 593 maréchaux-des-logis à cheval, dont 12 pour la légion d’élite, et 3 pour les ports et arsenaux maritimes. 1.169 brigadiers à cheval, dont 3 pour les ports et arsenaux maritimes. 254 maréchaux-des-logis à pied, dont 10 pour la légion d’élite, et 12 pour les ports et arsenaux maritimes. 506 brigadiers à pied, dont 30 pour les ports et arsenaux maritimes. 8.750 gendarmes à cheval et trompettes. 3.750 gendarmes à pied et tambours. 1 chirurgien-major, et 1 artiste vétérinaire pour la légion d’élite. Par décision de Sa Majesté l’empereur Napoléon Ier du 26 brumaire an XIII (17 novembre 1804), la gendarmerie prend la dénomination de gendarmerie impériale. Le siège de la gendarmerie, était : 73 rue du Faubourg-Saint-Honoré, à Paris.
Inspection générale S. Ex. Mr le duc de Conegliano, maréchal de l'Empire, premier inspecteur général. Aides de camp de M. le Maréchal, M. Moncey jeune, chef d'escadron et M. Vanoosterom, chef d’escadron. Inspecteur général, Monsieur Lagrange, général de division. Aides de camp, MM. Baylin, chef d'escadron. Bernard, chef d'escadron. Galbois, lieutenant. 1ère Légion de gendarmerie M. Ponsard, colonel à Paris 1er. Escadron Messieurs, Reydy-Lagrange, chef à Paris. Compagnie de la Seine Ravier, capitaine à Paris. Morieux, lieutenant Quartier-maître, à Paris. Chastel, lieutenant à Paris. Gillet, lieutenant à Sceaux. Poignard, lieutenant à Passy. Dundas, lieutenant à Saint-Denis. Compagnie de Seine et Oise Gaudriot, capitaine à Versailles. Dumalletra, sous-lieutenant Quartier-maître à Versailles. Estienne, lieutenant à Versailles. ??? lieutenant à Corbeil Salorgne, lieutenant à Etampes. Regardin, lieutenant à Mantes. 2e. Escadron Messieurs Hachin-Courbeville, chef, à Melun. Compagnie de Seine et Marne Thomé, capitaine à Melun. Testard, lieutenant Quartier-maître à Melun. Piot, lieutenant à Melun. Devie, lieutenant à Fontainebleau. Cosson, lieutenant à Provins. Calté, lieutenant à Meaux. Compagnie de l'Oise Muriel, capitaine à Beauvais. Lefevre, sous-lieutenant Quartier-Maitre à Beauvais Delafaye, lieutenant à Beauvais Deprieck, lieutenant à Compiègne. Budin, lieutenant à Clermont. Boucher, lieutenant à Senlis.
16e Légion de gendarmerie M. Huché, à Bruxelles. 31e. Escadron. Messieurs, Crainchon, chef à Gand. Compagnie de l'Escaut Fabre, capitaine à Gand. Bacquart, sous-lieutenant, Quartier-maître à Gand. L'Enfant, lieutenant à Gand. Ledanois, lieutenant à Audenarde. Dénisse, lieutenant à Alost. Liévermans, lieutenant à Ecloo. Compagnie de la Lys Jourdan, capitaine à Bruges. Pain, sous-lieutenant, Quartier-maître à Bruges. Euchêne, lieutenant à Bruges. Lebugle, lieutenant à Ypres. Beaucourt, lieutenant à Courtray. 32e. Escadron. Messieurs, Pierre Valhausen, chef à Mons. Compagnie de Jemmape. Garnier, capitaine à Mons. Beuret, sous-lieutenant, Quartier-maître à Mons. Mittre, lieutenant à Mons. Marcy, lieutenant à Tournais. Latteur, lieutenant à Charleroi. Compagnie de la Dyle Blanchelaine, capitaine à Bruxelles. Deroubaix, sous-lieutenant, Quartier-maître à Bruxelles Dupont, lieutenant à Bruxelles. Moerman, lieutenant à Vilvoorde. Bouthor, lieutenant à Wavre. Vallance, lieutenant à Nivelles. Coomans, lieutenant à Louvain.
La première brigade de gendarmerie à Vilvoorde.
Caserne de gendarmerie et de l'artillerie à Vilvoorde vers 1810 - document Y.J.T.M.
Plan de la caserne de gendarmerie et de l'artillerie à Vilvoorde vers 1810 - document Y.J.T.M. L’envoie d’une brigade à Vilvoorde fut porté à la connaissance de la municipalité le 29 nivôse an 4 (19 janvier 1796). L’administration centrale s’enquit en même temps d’un logement, d’une écurie et d’une remise pour les fourrages. Le 19 germinal an 4 (12 avril 1796), deux officiers se présentent à la maison commune (mairie) en vue d’arrêter les mesures adéquates au logement de la brigade de gendarmerie. On leur exposa qu’il était de la dernière impossibilité d’assigner un local dans l’enceinte de la ville, mais que la maison du ci-devant baron de Feltz à Trois-Fontaines était libre. Monsieur De Neck y conduisit les gendarmes. Ceux-ci dressèrent procès-verbal de leur visite. Ils constatèrent l’existence de quatre chambres à feu avec alcôve, de deux autres chambres à feu, d’une cuisine avec four, d’une écurie pouvant contenir sept chevaux et d’une chambre voisine. Tout était pour le mieux et l’on se réjouissait déjà de l’heureux dénouement lorsque la tutrice des enfants du ci-devant informa le maire que la maison était louée au citoyen Van Laethem, d’autre part, les Domaines déclarèrent qu’elle devait être mise en location publique au profit de la République. Avec une naïveté qui peut-être était malice, sous prétexte que le canton se trouvait dans la détresse la plus déplorable, le maire Monsieur Gilquin, pria de Département de fournir l’argent nécessaire à la construction d’une maison. Les gendarmes arrivèrent quant même et furent stationnés à Trois-Fontaines. En juillet 1796, certain gendarmes pressuraient (abusaient) les cultivateurs qui se rendaient au marché de Bruxelles pour vendre leurs grains. Averti par les plaintes de quelques victimes, le Département fit un exemple, les coupables furent arrêtés et emprisonnés. C’est le citoyen Seubert, qui proposa le 28 brumaire an 5 (18 novembre 1796) les dépendances de La Consolation, pour servir de caserne à la gendarmerie. Il estimait que cet usage des locaux ne ferait aucun tort au couvent, étant sur le derrière de la basse-cour. Cette suggestion fut d’autant mieux accueilli par l’Administration qu’elle était conforme à une disposition de la loi du 28 germinal an 6 (17 avril 1798). Après quelques mois, le 4 floréal an 7 (23 avril 1799), elle jugea le local trop vaste et, pour cette raison, très incommode. Ce fut alors la municipalité qui insista pour le maintien de la brigade dans ces lieux. La conduite des gendarmes ne donna plus lieu à aucune plainte ; la municipalité put même exprimer sa satisfaction à leur sujet. En l’an 6, la brigade de Vilvoorde était sous les ordres du : brigadier J.B. Robin (dit Robinne, était originaire d’Avranches), avait cédé le commandement au brigadier Martin. Les gendarmes s’appelaient : Deroubaix, Meunier, Simon et Veuilles. Jusqu’en 1814, la gendarmerie occupa les même locaux ; la situation de ceux-ci n’était pas propice à la surveillance de la grand’route, mais les gendarmes y demeuraient, par ce qu’ils ne pouvaient aller ailleurs. Au reste, leur occupation principale consistait à arrêter les conscrits réfractaires à leur domicile, ce qu’elle pouvait exécuter de ce point comme d’un autre.
Gravure de la prison "Tuchthuis" à Vilvoorde vers 1830 - document Y.J.T.M. La gendarmerie impériale, aura jusque 34 légions.
1ère légion Paris 1er escadron Seine, Seine-et-Oise. 2e escadron Seine et Marne, Oise. 2e légion Caen 3e escadron Seine inférieur, Eure. 4e escadron Calvados, Manche. 3e légion Alençon 5e escadron Orne, Eure et Loir. 6e escadron Mayence, Sarthe. 4e légion Rennes 7e escadron Côtes du Nord, Ile et Vilaine. 8e escadron Finistère, Morbihan. 5e légion Angers 9e escadron Loire inférieur, Maine et Loire. 10e escadron Vendée, Deux Sèvres. 6e légion Tours 11e escadron Loir et Cher, Indre et Loire. 12e escadron Indre, Vienne. 7e légion Bordeaux 13e escadron Charente, Charente Inférieur. 14e escadron Gironde, Landes. 8e légion Périgueux 15e escadron Lot et Garonne, Dordogne. 16e escadron Haute Vienne, Corrèze. 9e légion Auch 17e escadron Haute Garonne, Gers. 18e escadron Hautes Pyrénées, Bas Pyrénées. 10e légion Carcassonne 19e escadron Tarn, Aude. 20e escadron Ariège, Pyrénées Orientales. 11e légion Rodez 21e escadron Cantal, Lozère. 22e escadron Aveyron, Lot. 12e légion Lyon 23e escadron Puy de Dôme, Haute Loire. 24e escadron Loire, Rhône. 13e légion Nevers 25e escadron Creuse, Allier. 26e escadron Cher, Nièvre. 14e légion Troyes 27e escadron Loiret, Yonne. 28e escadron Aube, Marne. 15e légion Arras 29e escadron Nord, Pas de Callais. 30e escadron Aisne, Somme. 16e légion Bruxelles 31e escadron Lys, Escaut. 32e escadron Jemmapes, Dyle. 17e légion Liège 33e escadron Deux-Nèthes, Meuse Inférieur. 34e escadron Ourthe, Sambre et Meuse. 18e légion Metz 35e escadron Forêts, Ardennes. 36e escadron Meuse, Moselle. 19e légion Nancy 37e escadron Vosges, Meurthe. 38e escadron Bas Rhin, Haut Rhin. 20e légion Besançon 39e escadron Haute Saône, Doubs. 40e escadron Jura, Léman. 21e légion Dijon 41e escadron Haute Marne, Côte d’Or. 42e escadron Saône et Loire, Ain. 22e légion Grenoble 43e escadron Isère, Mont-Blanc. 44e escadron Ardèche, Drôme. 23e légion Brignolles 45e escadron Hautes-Alpes, Basses-Alpes. 46e escadron Alpes-Maritimes, Var ? 24e légion Avignon 47e escadron Bouches-du-Rhône, Vaucluse. 48e escadron Gard, Hérault. 25e légion Mayence 49e escadron Rhin et Moselle, Roër. 50e escadron Sarre, Mont Tonnerre. 26e légion Bastia 51e escadron Golo. 52e escadron Liamone. 27e légion Turin 53e escadron Pô, Stura. 54e escadron Doire, Tanaro. 55e escadron Marengo, Sésia. 28e légion Gênes, Apennins, Marengo, Montenotte. 29e légion Taro, Arno, Méditerranée, Ombrone. 30e légion Rome, Trasimène. 31e légion Illyrie. 32e légion Zuyderzée, Bouches-de-la-Meuse, Yssel-Supérieur. 33e légion Bouches-de-l’Yssel, Frise, Ems-Occidentale, Ems-Orientale. 34e légion Ems-Supérieur, Bouches-du-Weser, Bouches-de-l’Elbe.
Pour plus d'information contactez Musée de la Gendarmerie Nationale de Melun
Ecole des
Officiers de la Gd. nationale Tél: 00 32 (0) 1 64 14 33 17 - Fax: 00 32 (0) 1 64 14 33 54 Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 18h; Fermeture annuelle : Samedi, dimanche et les jours fériés. Tarif : Gratuit - visites guidées : générales, thématiques Historique des collections Le musée, créé à l'Ecole des Officiers de la Gendarmerie, a été réorganisé en 1960 dans trois salles du commandement et aménagé de façon moderne. Les collections présentent l'histoire de la gendarmerie de façon chronologique au travers de peintures, d'estampes, d'uniformes, de documents, de brevets, d'ordonnances et commissions royales signées de Louis XV et Louis XVI. Atouts majeurs Les collections évoquent la Maréchaussée, devancière de la Gendarmerie, son évolution, son organisation au cours des siècles : à la Révolution, en 1791, la Maréchaussée devient la Gendarmerie et participe aux guerres révolutionnaires, la Gendarmerie et la conquête de l'Algérie, la Gendarmerie coloniale, la Gendarmerie et le Second Empire. Un nouveau musée de la Gendarmerie début 2008 Le 1er octobre 2005, la communauté d'agglomération et la ville de Melun ont signé, avec l'Etat, un protocole de partenariat pour la réalisation du nouveau musée de la gendarmerie, en présence de Michèle Alliot Marie, Ministre de la Défense. Installé dans l’enceinte de l’école, le musée de la Gendarmerie a réuni, au fil du temps, des milliers de pièces qui retracent l’histoire de cette arme, à travers les siècles : costumes, coiffures, cuivrerie, armes, décorations, insignes, miniatures mais aussi tableaux, aquarelles, ouvrages… Malheureusement, une partie seulement de ces pièces sont aujourd’hui exposées, par manque de place. En accord avec l’Etat, la communauté d’agglomération et la ville de Melun se sont donc mobilisées sur le projet de créer un véritable musée ouvert sur l’extérieur. Pour concrétiser ce projet, la communauté d’agglomération s’est engagée, à l'occasion du 60ème anniversaire de l'installation de l'Ecole des Officiers de la Gendarmerie Nationale (EOGN) à Melun, pour un montant de 4,8 millions d’euros, à assurer la réhabilitation et l’aménagement intérieurs du bâtiment mis à disposition par l’Etat qui accueillera le futur musée. La ville de Melun assurera, pour sa part, les aménagements extérieurs, pour 1,2 million d’euros. La signature du protocole de partenariat a formalisé les engagements des partenaires autour de ce musée qui devrait ouvrir ses portes début 2008 et devenir un des lieux clé du tourisme dans le sud de la Seine-et-Marne. A cette date, les visiteurs pourront découvrir, sur 3 500 m², les 10 000 pièces du musée retraçant l’histoire de la gendarmerie depuis… 1339. Les documents de la collection sont reproduction interdite - Copyright
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