Yves Moerman Véronique Sapin auteurs livres Athos groupe Zéro groupe G service de renseignement militaire belge sûreté de l’Etat espionnage guerre collaborateurs nazis partisans résistance dénonciateurs traîtres exécutions condamnation à mort armes grenades pistolets mitrailleur bombe 1940 1941 1942 1943 1944 1945 libération de la Belgique Europe guerre mondiale interviews de collaborateurs interview de résistants Les Gendarmes de l’Empire nous y étions Camp de Boulogne Austerlitz Jena Berlin Hollabrünn Borodino Leipzig Lützen Paris Bassenge Cappellen Oostende Oostmalle Raches Wavre Waterloo Bal de la Duchesse de Richmond à Bruxelles 1815 2013 2014 2015 pistolet an 9 de la Gendarmerie Impériale uniformes des gendarmes de 1804 à 1815 Bassenge bivouac monuments funéraires Joséphine Napoléone de Montholon monument aux officiers britannique tombe du lieutenant-colonel John William Miller Les Gendarmes de l'Empire commémoration au cimetière de Terdeghem soldats 1er Empire samedi 22 mai 2010 bataille de Ligny R.E.S. Gend. palais de Justice de Paris 20 novembre 2010 famille ROBIN marins sous Napoléon Sacre de l'empereur Napoléon et de l'impératrice Joséphine, à Boulogne-sur-Mer le 28 mai 2011 Sainte Hélène bataille des Quatre-Bras Waterloo, le 18 Juin 1815 Zemst Sempst historique historisch overzicht Thérouanne Ville oubliée Marc de Moerman Magistrat à Thérouanne Eppegem Belgique België Belgium cimetière militaire d'Eppegem 1914 militaire begraafplaats in Eppegem 1914 military cemetery Eppegem 1914 herdenkingen commémorations commemoration 2014 2015 2016 2017 2018 un pays qui perd la mémoire est un pays qui disparaît dépôt de gerbes au cimetière situé Brusselsesteenweg sur les tombes de 228 soldats belges Zemst Zemst-Laar 1914 cimetière de Zemst 1914, Belgique begraafplaats in Zemst 1914, België Zemst Cemetery 1914, Belgium burgers slachtoffers victimes civils livres Napoléon à Waterloo lettres de Grognard correspondance de Benoît Joseph Lamoral artilleur de Marine dans les armées de Napoléon de 1800 à 1813 1815 Napoléon en campagne Heure par heure dans l'ombre de l'Empereur Grognards centenaires de Napoléon derniers soldats médaillés de Sainte-HélèneDe Bonaparte à Napoléon From Bonaparte to Napoleon Aquarelle de JOB Les trente batailles du sergent Denis Moreau de 1794 à 1809 Etienne Guillaume Gustave Maison Yves Moerman Le Sacre de l'empereur Napoléon 1er Paris, le 2 décembre 1804 Boulogne, le 28 mai 2011 1815 campagne de Belgique des monuments et des hommes livre qu'il vous manquait Napoléon, Wellington, Blücher J’étais soldat au 2ème Bataillon de Fusiliers Louis Laeremans volontaire de guerre en 1944 livre sur la vie militaire de ce vétéran Belge Préface du Ministre Herman DE CROO Ancien Président de la Chambre Député Ik was soldaat bij het 2de Bataljon Fusiliers Louis Laeremans oorlogsvrijwilliger in 1944 Boek over het leven van een Belgische vrijwilliger Minister van Staat Herman DE CROO Gewezen Kamervoorzitter Volksvertegenwoordiger 6 août 1944 double meurtre à Gembes Eliane Mergny, Paul Mergny et André Moyen étaient-ils vraiment coupables ? Les crimes des soldats Alliés en Europe 1944-45 Viols et meurtres ATHOS la traque des collaborateurs belges à la solde des Nazis Athos André Moyen Capitaine Freddy Collaborateurs Abwehr, Défense service de renseignement Gestapo GEheime STaatsPOlizei Police secrète d'État SS Schutzstaffel organisation national-socialiste, SD Sicherheitsdienst Collaboratrices Espions Belgique Ardennes Bastogne Berlin Ave-et-Auffe Gembes Graide Louette-Saint-Denis Monceau-en-Ardenne Resteigne Wellin Adolf Hitler Nazi femmes tuées jeune filles collaboratrice cimetière exécution enlèvement espions Deuxième Guerre mondiale WWII prison Yves Moerman Véronique Sapin Les gendarmes lors de la campagne de France en 1814
Des gendarmes fin Révolution début du consulat, dessins de Rousselot. Pour vos commandes Pedersoli en Belgique une seul adresse Wapenhandel Nikabi Testeltsesteenweg 66C 3271 Averbode - Belgium e-mail : wapenhandelnikabi@telenet.be website : www.wapenhandelnikabi.be La gendarmerie en 1814 Chose importante, mais peut connue : N’oublions pas, que la gendarmerie départementale à elle aussi fait partie de la Garde Impériale ! Suite à ses exploits à la bataille de Montereau du 18 février 1814. En effet, la gendarmerie commander par le capitaine Jean-Baptiste Dourthe, de la Légion d’Espagne, a reçu ses lettres de noblesses à la fin de l’empire. Un lettre spéciale, dictée par l’Empereur en son quartier impérial de Surville, le 19 février 1814, et adressée au général comte Drouot, aide-major de la Garde impériale. L'Empereur demande d'intégrez la gendarmerie à sa Vielle Garde. Ils ne feront partie de la Vielle Garde que 51 jours. Les gendarmes à Montereau, le 18 février 1814 L’Ecluse, 4 heures 30 du matin, les cavaliers du général Delort montent à cheval et se dirigent sur le bois de Valence précédés d’éclaireurs ; derrière eux, marchent : la brigade de Coetlosquet, le capitaine Jean-Baptiste Dourtre, (ancien d’Espagne, né le 22 mai 1770, à Landres, il reçoit un sabre d’honneur de Bonaparte. À l’armée de Sambre et Meuse, à l’armée d’Allemagne, à l’armée du Rhin. En 1804, il passe au 4e cuirassier, reçoit la Légion d’honneur, en Italie en 1805 et 1806, Wagram, Dresde, etc. Lieutenant le 8 janvier 1807, il charge à Heilsberg, le 11 juin. Adjudant major le 19 juillet 1808, capitaine le 4 mars 1812, Polotsk, Smolianof. Affecté à la 3e légion de gendarmerie d’Espagne. Il arrive en Espagne en 1813. Rentré à Paris le 9 novembre 1813, il sera avec ses gendarmes à Montereau-Fault-Yonne). Ses gendarmes et son artillerie, puis 6 escadrons du général Grouvel, enfin, les trente bataillons de gardes nationaux encadrant une compagnie d’artillerie, soit 4 500 fantassins, 1 400 chevaux et 16 pièces d’artillerie. L’Empereur, a donné à Pajol l’ordre "de ne point s’épargner". Voici Panfou, Valence ; rien à signaler que des futailles défoncées et quelques hussards du prince Ferdinand. On entre en forêt ; "Halt ! …" Des patrouilleurs ont entendu des commandements en allemand, puis ils ont aperçu des chasseurs bavarois et des hulans. Une compagnie de gendarme serre la tête ; suivant sur deux files les fossés de la route, ils encadrent à droite et à gauche les cavaliers du général Delort ; la marche reprend. 7 heures : coups de canon en avant ; les pelotons d’avant-garde viennent d’être salués par une batterie autrichienne et des fantassins installés à la demi-lune (croisement de la route de Provins à Fontainebleau). Des cavaliers lancés sur eux sont ramenés. Les canons de Dourtre, mis en batterie sur la route, ouvrent le feu pendant que le général de Coetlosquet et les gendarmes gagnent, par les sentiers ou à travers bois, la lisière orientale ; mais en arrière de la ferme de "Maupertuis" des escadrons wurtembergeois sont en bataille. Le général Pajol, attends pour déboucher en plaine, l’arrivée à sa hauteur des bataillons de Pacthod engagés dans le bois de Valence-en-Brie, à l’ouest de la route de Paris. L’ennemi se retire ; en effet, plusieurs bataillons de gardes nationaux sont sortis des bois et s’avancent vers les fermes de "la Mare Grand-Champ" et du "Dragon-Bleu". Mais, pour faciliter ces mouvements, les gendarmes postés de part et d’autre de la route et face à "Plat-Buisson" ont attiré sur eux le feu de l’ennemi. "C’est l’exacte vérité de dire, qu’il fallait que ces intrépides gendarmes eussent un bras ou une jambe emporté pour cesser le feu. Ils ne regardaient plus les balles comme dignes de leur attention ; et, cependant, elles y pleuvaient, car l’ennemi avait fait avancer plusieurs bataillons, soutenus par une nombreuse artillerie", écrit le capitaine Biot, chef d’état-major de Pajol, dans ses mémoires. Le général, désespéré de les voir maltraités et de devoir diriger les blessés sur Melun pour obtenir un pansement faute d’officier de santé, envoie Biot chercher à la réserve un bataillon de gardes nationaux afin de soulager ces braves gendarmes. L’officier revient peu après suivi du bataillon d’Eure-et-Loir, le seul des trente uniformément habillé de capotes, coiffé de shakos, équipé de havresacs. Hélas, l’habit ne fait pas le moine. Arrivé à la lisière du bois, Biot répartit les gardes entre les gendarmes, mais il n’est pas parvenu à la gauche de la ligne que les hommes de droite ne sont déjà plus à leur poste. 11 heures : l’ennemi s’est renforcé ; le petit Corps de Pajol, seul au combat depuis le matin, est aux prises avec la moitié du Corps du prince de Wurtemberg. Au centre, le bataillon du capitaine Dourtre, celui d’Eure-et-Loir et l’artillerie aux lisières des bois et vers "Plat-Buisson". A gauche, huit bataillons de gardes nationaux, deux brigades de cavalerie entre les bois et les "Courreaux". A droite, sept autres bataillons et six escadrons de chasseurs, devant le "Dragon-Bleu" et la "Mare Grand-Champ". En réserve, le reste de l’infanterie de Pacthode, quatorze bataillons. Le soir du 18 février, le général Pajol, écrit à l’Empereur "Je dois dire que le corps de gendarmerie s’est très bien conduit". L’Empereur dicte de son quartier général une lettre adressée au comte Drouot, aide-major de la Garde impériale à Montereau : Mon intention est de ramasser tous les gendarmes à pied de l’armée ; les deux bataillons d’Espagne font 800 hommes, mais il y en avait avec le général Pajol et d’autres corps. Il y a aussi des douaniers. Voyez à réunir tout cela pour augmenter la réserve de ma vielle Garde. J’ai déjà 18 bataillons ; avec les sapeurs et les marins de la Garde fera dix-neuf ; ce qui, avec le secours des tirailleurs, dont j’ai ordonné la formation fera, je crois, près de 9 000 hommes. Il faudrait encore renforcer cela par un bon bataillon de douaniers, s’il est possible, ou par un bataillon de gendarmes à pied. Le capitaine Dourtre et ses gendarmes termineront la campagne rattachée à la Garde impériale. Voilà aussi comment, suite à leurs héroïsmes à la bataille de Montereau, les légions de gendarmerie d’Espagne, entrèrent le 19 février dans la Garde impériale, Garde qu’ils quittèrent à l’arriver des Bourbon. Mes remerciements à l'Adjudant Bruno Dupuis - Source : Archive de la gendarmerie du musée de Melun.
Gendarmes d'élite vers 1812, dessins de Rousselot. Les documents de la collection sont reproduction interdite - Copyright.
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